L’affiche est de Seguin (l’affichiste, pas le monsieur Seguin de la chèvre !), en 1956. De ça, je suis sûre. Pour le reste, difficile à suivre... Le début, (milieu du XIXème) se passe en Argentine où il y a d’immenses troupeaux de bovins élevés par la société Liebig pour extraire du jus de viande. A la même époque à Vienne, un chimiste réputé, le baron Justus Liebig, nourrit une jeune malade incapable de s’alimenter avec une macération de viande dans de l’eau. La marque argentine se prévaut du nom du chimiste et affirme qu’il contrôle la fabrication de son extrait... En 1884, une société - vous voyez laquelle...- est condamnée pour avoir utilisé l’image du chimiste sur ses boîtes d’extraits de viande. Donc, quel est le rapport exact entre Justus Liebig et la marque du même nom? J’avoue que j’ai mal dormi et mal au crâne. Ce qui fait que je renonce à comprendre, mais que j’avoue que, une fois un peu relevé et avec une noix de beurre, je n’ai pas détesté un potage Liebig, saveur d’automne, potiron, châtaignes.
- Encore une question : Justus Liebig a-t-il donné son nom au Stradivarius actuellement prêté à Nicolaj Znaider et autrefois propriété de Wolfgang Schneiderhan ? Au secours Monsieur Vatelot...
- Et puis ce fameux Justus Liebig aurait été le premier à faire nourrir les bovins avec de la farine animale... Aurait-il provoqué la maladie de “ la vache f
olle ” ?