la vie de memphis

Encore des expressions. Plus bas s’il vous plaît : Doucement les basses

Du calme, baissez le ton : doucement les basses.

• Ou je vous fais jeter dans un cul de basse-fosse, d’orchestre évidemment ! Aux oubliettes les gars, dans un cachot sombre et humide !
• Vous avez intérêt à faire profil bas, à ne pas vous faire remarquer.
• Après la prestation bas de gamme, minable, que vous avez fournie, un peu de discrétion serait la bienvenue.
• A moins que vous n’ayez l’intention de tout niveler par le bas, tout faire descendre…
• Tout le monde peut avoir des hauts et des bas, ne pas être toujours au top. Mais là vous avez vraiment fait fort. Donc je le répète : doucement les basses, fermez votre clapet.

Encore des expressions. Pour conjurer le mauvais sort : Toucher du bois

Pour l’instant tout va bien, tout marche comme sur des roulettes. Mais je touche du bois : pourvu que ça dure.

• Je voudrais bien, comme ton oncle, toucher le Pactole. Ce veinard a gagné au loto. Une somme aussi rondelette que lui.
• Il est vrai que pour tout ce qui touche aux jeux, qui a un rapport avec eux…
• … il touche sa bille. Il se débrouille très bien.
• Il avait déjà touché quelques milliers d’euros au grattage d’un jeu quelconque. Quant aux tombolas, inutile de prendre un billet après lui. Le gros lot c’est pour lui à tous les coups. S’il était marié on dirait qu’il est cocu. Mais c’est un farouche célibataire.
• Cupidon ne l’a jamais touché de son aile. Je ne l’ai jamais connu amoureux. Pourtant il aurait pu faire le bonheur d’une femme. il est gentil, cultivé et question bricolage, c’est un touche-à-tout de génie

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Encore des expressions. Retour vers le passé : Revenir en arrière

Ce serait si bien si parfois on pouvait revenir en arrière. Tout effacer. Recommencer à zéro, Par exemple quand on a fait une énorme gaffe, de celles dont on ne sait plus comment se dépêtrer. Plus on essaie, plus on s’embourbe.

• Si seulement il suffisait de dire “en arrière toute” pour tout gommer. Promis, je la tournerai 7 fois dans ma bouche ma trop grande langue.
• Si j’avais pu, je me serais donné de grands coups de pied dans l’arrière train. Je me serais botté les fesses.

Le genre d’expérience qui te laisse un arrière goût d’amertume dans la bouche, des regrets, presque des remords Revenez en arrière avec Memphis https://youtu.be/AR7tSZkHhHU

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un vol, une volière.

En général, un vol se passe avec discrétion. Le voleur ne tient pas à se faire prendre sur le fait ! Dans une volière, au contraire, c'est à celui ou celle qui fera en sorte de se faire le plus remarquer.

• C'est ici que se terminera cette série qui portait sur les difficultés qu'ont parfois les enfants à se rendre compte que le féminin d'un mot n'est pas toujours celui qu'ils imaginent.
• J’espère qu’elle vous a amusés. De toutes façons Memphis, toujours fidèle au poste ne va pas arrêter là ses délires et espère que vous allez continuer à venir la voir. Bisouxxxxxx à tous et à toutes et merci de votre fidélité.

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un voile, une voile.

Si tu veux faire la danse des sept voiles, mieux vaut ne pas utiliser la voile de ton bateau ! Ton voilier resterait en panne et toi, tu ferais un flop à coup sûr… On disait autrefois que les marins étaient à voile et à vapeur, bisexuels. N’ayant jamais eu de marin dans ma vie, je ne peux ni infirmer ni confirmer.

• Mais dans quel port as-tu jeté à jamais l'ancre de ton voilier Elpepe ? Toi qui a mis les voiles un jour sans prévenir personnes…Qu’en pensez-vous, Momo, Cotcot et les autres ?

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un tour, une tour.

Un tour de manège après avoir fait le tour de la tour de Pise ? Pourquoi pas ? Certains acceptent les adultes, surtout ceux qui ont gardé leur âme d'enfant. Comme moi... Les marionnettes, elles font, dit la comptine trois p'tits tours et puis s'en vont.

• Quand mes enfants étaient petits, je les emmenais voir les marionnettes de Montrouge http://www.compagnieblin.fr/index.html un spectacle féérique qui m’enchantait au moins autant qu’eux. Je viens de voir qu’elles existent toujours et je pense que mes petites filles (27, 20 et 17 ans ! ) seront d’accord pour m’y accompagner. Les chiens ne font passe chats…

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un top, une top.

Je donne le top, le départ du défilé et les tops, au top de leur beauté s'avancent de leur drôle de démarche. Mon Dieu s'il me fallait porter des talons de cette hauteur, je crois que je vacillerais. Quant aux robes... Malgré mon petit 36, j'ai l'impression que les ferais éclater. Dommage, il y en a parfois qui sont bien belles. A côté d'autres strictement moches et importables… Et les prix, mes enfants ! Là c’est le porte-monnaie qui doit être au top.

• Et toi, Alizé, pas question de te prendre pour un mannequin : tu vas finir ton assiette et arrêter de faire la tête !

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un thé, une tête.

Boire le thé en tête à tête avec l'homme de ta vie... Quoi ? Tu n'aimes pas le thé ? C'est ton droit le plus strict. Cependant avec toutes les variétés qui existent, tu m'étonnes... Et sais-tu que dans certains pays d'Asie, il existe un véritable rituel pour le servir ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Chanoyu

• Allons ne fais pas la tête, je vais te le faire ton chocolat, tout chaud tout, mousseux comme tu l’aimes.
• Et ne is pas que n te prends comme tête de Turc, tu n’es pas mon bouc émissaire.
• J’ai beau me creuser la tête, me torturer les méninges, je ne vois pas ce qui te fait penser ça.
• Oui, oui, j’en mettrais ma tête à couper. Et la tienne aussi si tu veux.
• Allez tête de mule, viens m’embrasser et ne te prends pas la tête.

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un sort, une sortie.

Jeter un sort à quelqu'un correspond parfois à vouloir lui montrer la sortie ! (http://www.ensorcellement.fr/magie-noir.html). Plutôt que d'essayer d'attirer le mal ou la mort sur ceux qui t'ont blessée, essaie d'oublier à défaut de pouvoir pardonner.

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un sire, une cire.

Sire ! Majesté ! Le bon roi Henri IV ne faisait paraît-il pas partie des tristes sires, ainsi nommés parce que peu recommandables. Pour marquer un document de son sceau ( et oui ! Un homonyme de ton dernier dérapage... ) il devait utiliser de la cire. Produite comme tu dois le savoir par les abeilles. On en fait aussi des bougies, bien utiles par temps d'orage quand on se retrouve plongé dans le noir. Bien sûr tu vas me dire que maintenant les téléphones portables peuvent servir de lampe. Mais pour peu qu’ils soient en charge ou que comme d’habitude tu ne saches pas où tu l’as posé, tu seras forcée d’en revenir à la bonne vieille chandelle. mais au fait, à voir l’état de tes chaussures, j’ai l’impression que tu as oublié l’usage du cirage…