la vie de memphis

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un joug, une joue.

Avant de te retrouver sous le joug d'un mari, peut-être auras-tu un peu flirté en faisant du joue à joue ? Méfie-toi des slows et des lumières tamisées ma fille. Ils ne contribuent pas beaucoup à garder la tête froide. Mais, former un bon "attelage " avec un homme n'est pas forcément déplaisant… Et approche ta jolie petite joue toute lisse que j’y dépose un gros bisou

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un homme, une omelette.

Faut-il obligatoirement être un rugbyman pour être un homme ? Faut-il avoir des "biscottos" et des "tablettes de chocolat" ? Pas pour moi en tous cas. Mais l'apparence compte tellement que, pour ne pas se faire traiter d'"omelette", mieux vaut avoir un physique de sportif. Même si on n'est qu'un sportif en chambre.

• Quoi de plus délicieux qu'une bonne omelette, bien baveuse et légèrement grillée en-dessous. Les lardons, le fromage, les champignons, que ce soient de simples mousserons ou une truffe, c’est du superflu. Elle se suffit à elle-même.

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un "h", une hache

J'aime le "h" du hamac, mais la hache du bourreau !... (http://www.histoire-fr.com/mensonges_histoire_guillotine.htm). L'arbre ne doit pas plus que le supplicié aimer celle qui le coupe.

• Le “h” s’aspire dans certains cas (
  • http://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-61194.php
• ) mais la hache du bourreau coupe à jamais la respiration…
• Et toi évite de déterre la hache de guerre. Je t’en prie ne commence pas les hostilités. et surtout ne mets pas d’huile sur le feu. Peace and love !

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un gué, une guêpe.

Oh la la ! Je te comprends ! Si une guêpe te poursuit, tu vas franchir le gué très vite. Ou même te jeter à l'eau si le courant le permet. Ce sale insecte n'hésiterait pas à te piquer, malgré ta taille de guêpe. Aucun respect ces bestioles !

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un gain, une gaine

Tes gains au loto ! Parlons-en ! Ils ne te permettraient pas l'achat d'une gaine dont tu n'as d'ailleurs nul besoin. Mais le besoin n'est pas forcément le moteur principal d'un désir. Je te propose de te promener sur ce site. Il m'a presque donné envie de porter un corset pour faire "la belle" : http://www.volutecorsets.com/evolution.php

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un fez, une fesse

Je sais, ton oncle dirait que quand on a une figure de fesse aucune coiffure n'est interdite ! Il a toujours fait dans la légèreté ! Il est vrai que tu as plus de chances de voir une personne coiffée d'un fez de l'autre coté de la Méditerranée : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fez_(coiffure) . A Fès peut-être. Cependant, si tu veux te fabriquer rapidement un fez, un pot de fleur retourné fera l’affaire. Et le pompon : quelques brins de laine. Te voilà paré pour le Carnaval…

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un feu, une feuille

On peut faire un feu de feuilles mortes. Mais attention, l'écobuage est réglementé : vous risquez de provoquer un incendie ou même un accident de voiture : la fumée qui se dégage peut rendre la visibilité très difficile. Et surtout méfiez vous, s’il vous prend l’idée de brûler des feuilles de vigne, la pudeur de certains pourrait en être gravement offensée !

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un faix, une fée.

Un pauvre homme ployait sous le faix d'un énorme fardeau. Une fée survint... La vie n'est pas un conte de Grimm, Andersen, Perrault ou autre. Il vaut mieux ne compter que sur soi (d’ailleurs, vous le voyez, la fée tourne le dos au pauvre homme). A moins que …

• “Un homme descendait de Jérusalem vers Jéricho et il tomba entre les mains des voleurs qui le dépouillèrent, et après l’avoir couvert de plaies, ils s’en allèrent le laissant à demi-mort. Or il arriva qu’un prêtre descendait par le même chemin et l’ayant vu, il passa outre. Pareillement, un lévite, étant venu là, le vit et passa outre. Mais un Samaritain, qui était en voyage, vint près de lui, et le voyant, fut touché de compassion. Il s’approcha, banda ses plaies, y versa de l’huile et du vin. Puis il le plaça sur sa monture, il le transporta dans une hôtellerie où il prit soin de lui” (Saint-Luc, X). http://www.universdelabible.net/lire-la-segond-21-en-ligne/ref,Luc%2010.25-37/ .

Et des bons Samaritains, il en existe. Je suis sûre que vous en avez déjà rencontré.

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un dos, une dose

Mon dos, mon dos ! Qu'est-ce qu'il a mon dos ? Pas facile de se voir de dos sans se contorsionner. Chose rendue peut-être plus facile par une bonne dose de Ricard ou de whisky. Et enlevez moi cette boule restrictive ! C'est moi qui choisis ma dose ! J’en ai plein le dos que l’on veuille me dicter ce que j’ai à faire, ce qui est bon pour moi, ce qui est politiquement correct ou pas. Plein le dos je vous dis !

Les dérapages d'Alizé : masculin, féminin, le sexe des mots. Un dé, une déesse

Préserver sa pudeur en se couvrant d'un dé de carton ne semble pas venir à l'idée d'une déesse, particulièrement Vénus qui représente l'amour. Elle a été un sujet d'inspiration pour nombre d’artistes. Mais était-elle douée pour la couture, se servait-elle d’un dé. Son absence totale de vêtements me fait penser que non ! Je la verrais plutôt partageant un dé de Whisky ou de Porto avec Neptune…