la vie de memphis

Encore des expressions. Je ne lèverai pas le petit doigt : Butler.

J’ai bien l’impression que je ne vais pas buller, me tourner les pouces, coincer la bulle cet été. Ça va commencer par 2 stages qui je l’espère, vont relancer mon train-train habituel et m’emmener vers des nouveautés qui pourraient bien elles aussi m’amener pas mal de travail. Alors ne m’en veuillez pas si je vous fais quelques rediffusions… C’est que je prépare déjà la rentrée et que pense à vous. Bonnes vacances !

Encore des expressions. Dégage : Coller aux basques.

Ce gamin m’énerve à me coller aux basques, à ne pas me lâcher d’une semelle. D’autant plus que je ne sais pas du tout quelles sont ses intentions. Est ce qu’il en veut à mon porte-monnaie ou est ce qu’il me trouve simplement sympathique ?

• Quoi , tu vas lui coller un pain, lui infliger une correction ?
• Décidément je comprends que ton surnom d’“Ange blanc" te colle à la peau, qu’il fasse partie intégrante de toi. allons tu n’es pas un catcheur, du calme s’il te plaît. il y a de fortes chances pour que ce gosse soit parfaitement inoffensif.
• Et ne reste pas scotché, aussi immobile que la tour Eiffel. Viens te mettre à côté de moi. Il s’éloignera peut-être.

Encore des expressions. Un môme peut le faire : Un jeu d’enfant

Facile, fastoche un vrai jeu d'enfant.

• Ça vaut vraiment la peine d'essayer. Le jeu en vaut la chandelle. Tout à gagner rien à perdre. Mieux que le loto !
• Oh ! Mais tu me reçois comme un chien dans un jeu de quilles. Tu n'as vraiment pas l'air heureux de ma venue.
• Tu as c de me dire que non. Ça t’est facile de me faire ton cinéma mais il y a des expressions qui ne trompent pas.
• N'essaie pas de cacher ton jeu. De faire semblant; de dissimuler tes sentiments.
• J'ai vu clair dans ton jeu. Je t'ai percé à jour.

Et bien, jouons maintenant : https://youtu.be/W0RlvJoLOus

Encore des expressions. avec Omo, Ariel ou autre : Etre lessivé

Je suis morte, flapie, crevée, en un mot lessivée. Je n’en peux plus. Courbatue comme si on m’avait passée à la machine, essorage à grande vitesse compris. Tu vas me dire d’aller me reposer bien sûr. Je voudrais bien. Encore faudrait-il en avoir le temps et surtout, surtout arriver à dormir. Tu sais ce que c’est que de se réveiller toutes les 1/2 heure et entendre le réveil sonner juste quand tu viens de sombrer. C’est ça surtout qui me fatigue. Et inutile de me conseiller tout un tas de trucs de machins, de tisanes, de médicaments. Je pense avoir tout essayé. a l’exception du coup de matraque sur la tête…

Encore des expressions. Quand faut y aller : En avant la musique.

Au boulot, allons-y. Quand faut y aller, faut y aller : en avant la musique.

• Connaissant la musique, sachant ce dont il s’agit…
• … je sais que les horaires sont réglés comme du papier à musique, super organisés, à la minute près.
• Ne traînaillons pas, mais n’allons pas non plus plus vite que la musique. Ne soyons pas trop pressé. Quand c’est l’heure c’est l’heure, après l’heure… Vous connaissez la suite bien sûr. Pour rien au monde aujourd’hui, fête de la musique, je ne voudrais manquer le passage de la fanfare municipale (entre nous, j’ai un faible pour l’hélicon) et elle est toujours d’une exactitude de métronome.

Encore des expressions. La petite souris va passer : Etre brèche-dent.

Pauvre Alizé, elle a perdu pratiquement toutes ses dents de devant. Elle est brèche-dent. Elle n’ose plus rire aux éclats. Elle zozote en parlant, elle chuinte. Nous ça nous amuse mais elle beaucoup moins. Seule consolation : la petite souris est passée cette nuit.

• Quant à moi je suis arrivée à créer une brèche dans les histoires embrouillées de son frère. A le prendre en flagrant délit de mensonge. A force de raconter n’importe quoi, il ne se souvient plus de ce qu’il a raconté la veille et je lui ai mis le nez dans ses contradictions. Hélas je ne pense pas que ça lui servira de leçon.
• Demain tu peux venir à l’heure que tu veux : je serai sur la brèche, au boulot dès potron-minet.

Encore des expressions. Remonter la pente : Prendre le dessus

Ça n’a rien à voir avec le fait que je t’ai vue piquer la cerise qui ornait le dessus du gâteau, rien du tout ! Si je t’encourage à prendre le dessus, c’est parce que je te trouve bien déprimée ces temps derniers. Tu n’as plus goût à rien, plus de désirs, plus de projets. Je ne te dis pas de te secouer, non. Connaissant ton dynamisme habituel je pense que si tu pouvais le faire, tu l’aurais fait. Je te demande simplement de m’accompagner dans ma promenade quotidienne. Nous parlerons, nous papoterons, nous irons boire un bon jus d’orange frais en regardant les passants et… il y a une expo qui me tente. Si tu es d’accord…

• Oh ce n’est pas le dessus du panier, le top du top. Mais je suis sûre qu’il y a des idées à en tirer.
• Et demain nous pourrons recommencer et bien d’autres fois encore jusqu’à ce que tu sois plus en forme. Allons, te voilà sans dessus dessous (ou sens, comme tu préfères). J’espère que ce n’est que parce que tu ne sais pas quelle robe choisir pour notre petite virée.

Encore des expressions. Ras le bol : Avoir des fourmis dans les jambes.

Oh ces réunions qui s’éternisent ! Si encore on pouvait bouger. mais non. Il faut rester sagement assis sur un tabouret inconfortable. J’en ai des fourmis dans les jambes. Des picotements, des engourdissements.

• Ouf, c’est fini. Enfin je vais pouvoir me mettre debout, m’étirer. Mais pour me faufiler vers la sortie et échapper aux bavardages, c’est une autre paire de manches. Un travail long et minutieux : un vrai travail de fourmi.

Elles sont là ces damnées fourmis : https://youtu.be/D8Ar_WhVnn0

Encore des expressions. Pas que dans leur jean : Avoir le cul serré.

Certainement pas très drôles les nanas. Oh ce n'est pas parce qu'elles ont le derrière super moulé dans leur pantalon quelques tailles trop petites que je dis ça ! C'est parce qu'elles sont coincées, complètement coincées. Avec elles attention à ce que vous dites. Surtout pas de plaisanteries plus ou moins grivoises. Ce serait tellement choquant… Pouet pouet ma chère elles en rougiraient presque. Et cachez ce sein que leur mari lorgne de trop près et tirez un peu sur votre jupe. Non mais !

• Il ne faudrait pas que ce monsieur vous serre de trop près, tente une manœuvre de rapprochement.
• Il peut toujours se serrer la ceinture. Pas la peine d’y compter.
• Même si dans cette foule nous sommes serrés comme des sardines, tellement nombreux que nous pouvons à peine bouger.
• Comme entre elles elles se serrent les coudes, elles sont très solidaires, ce dont je les félicite d’ailleurs, l’alerte serait vite donnée.
• Allez mesdames desserrez les dents (et les fesses) , décontractez vous, jetez vos vieux principes aux orties et vivez un peu !

Encore des expressions. Même pas peur. Ne craindre ni Dieu ni diable

Vraiment, il ne craint ni Dieu ni diable ton copain. il n’a peur de personne.

• Toujours à tenter le diable, flirter avec les pires risques.
• Il a le diable au corps, il est enragé.
• Ne te fais pas l’avocat du diable, celui des causes indéfendables.
• Ce n’est pas parce qu’il a la beauté du diable, celle de la jeunesse…
• … que tu dois vendre ton âme au diable pour lui.
• Et que tu m’envoies au diable vauvert, que tu m’envoies balader n’y changera rien.

et l’animation :https://youtu.be/B2evPRHakpE