C'est ce qui se passe souvent : tu t'es faite presser comme un citron, exploiter à fond. Quelques flatteries et tu as donné les solutions de tous les problèmes à ta copine ! Elle n'a eu qu'à recopier. Tu aurais dû la laisser, elle, se presser le citron, réfléchir, se torturer les méninges.
- Si elle n'a rien dans le citron, si elle manque d'intelligence et de réflexion, c'est son affaire. Elle va passer pour un crack en maths alors que c'est toi qui a fait tout le travail.
- Et elle ne va pas se prendre pour la moitié d'un pépin de citron ! Elle va s'enorgueillir.
- A t'entendre toujours te plaindre, tu me cours sur le citron (ou sur le haricot si tu préfères...) Ça m'importune, ça me gonfle comme tu dirais.
- J'ai reçu un grand coup sur le citron, un gros choc sur la tête : en me promenant en forêt une branche cassée s'est détachée. Et je l'ai reçue sur le crâne. J'en ai vu trente-six chandelles !