Quel carnage as-tu encore imaginé ? Je me le demande à voir ta mine perplexe. Pas de panique ma chérie, le sang ne va pas couler ! Ce sont tout simplement ces bâtonnets de crème glacée enrobée de chocolat. Leur histoire :
http://www.notrefamille.com/v2/editorial/24-janvier.html ). Tes parents et les leurs, d’ailleurs s’en délectaient à l’entracte dans les cinémas. A cette époque, il y avait encore des ouvreuses pour placer les spectateurs et entre les publicités et “le grand film”, elles criaient : “Esquimau, esquimau Gervais ! Demandez les esquimaux !” Si nous avions été sages, nous y avions droit. Maintenant, d’autres marques ont pris la relève et viennent tenter ta gourmandise (un échantillonnage :
http://eismann.fr/00355/1_1_3/10010/Cones-et-batonnets.html ). Mais au cinéma, on mange plutôt des pops-corns et le bruit n’est pas très agréable pour les voisins.
- Tu ne seras pas étonnée de ma maigre moisson d’expressions aujourd’hui : seulement “vendre de la glace aux esquimaux”. Si tu y arrives, tu dois avoir de réels talents de vendeuse.
- Alors, je dérape un peu vers le mot “glace”... Arriverais-tu à rester de glace, sans émotion apparente, si tu rencontrais ton chanteur préféré ? Ne m’en veux pas, j’ai oublié son nom. Peut-être parce que j’aimerais aussi oublier sa voix...
- Il suffit quelques fois de bien peu pour briser la glace entre deux personnes, faire que le courant passe entre elles.
- Par contre, ce n’est pas facile avec quelqu’un qui est froid comme de la glace. Certaines personnes sont d’un abord assez... réfrigérant.
- Oh la la, ce clochard qui titube entre les voitures n’a certainement pas sucé de la glace. Je pense qu’il a préféré une ou deux bouteilles de rouge, à moins que ce ne soit un nombre astronomique de canettes de bière.