Souvent, sur les plans d’eau nous pouvons voir des canards nager ou s’ébattre. De même dans les mares, ces petites étendues d’eau dormante et plus ou moins boueuse. Mais pourquoi n’en auraient-ils pas marre, assez, un jour de cet espace restreint ? “Y en a marre”, ça suffit, pourraient-ils dire avant d’aller voir ailleurs. Si un blessé baigne dans une mare de sang, une flaque, il faut le secourir très vite, lui faire un pansement compressif pour arrêter l’hémorragie. Et celui qui se marre en voyant ce spectacle, qui rit et s’en amuse, est un triste individu.
Peut-être cet accident est-il survenu après une consommation excessive de marc. Dans ce cas, il s’agit d’eau de vie distillée à partir des résidus des fruits pressés pour en recueillir le jus qui sont eux aussi appelés marc. Pour voir ton avenir dans du marc de café, ce qui reste après le passage de l’eau sur le café, adresse-toi à madame Irma, la voyante du coin. Et ne confonds pas ce marc avec l’ancienne unité de masse qui valait 8 onces locales. Ce qui équivalait à Paris à 247,75 de nos grammes. Et ailleurs, suivant le cours de l’once. Pratique en voyage...