Un bateau, qu’il soit minuscule ou énorme, jette l’ancre lorsqu’il veut s’immobiliser. L’ancre, c’est une sorte de crochet, d’une taille proportionnelle à celle du bateau qui s’agrippe au fond de l’eau. La seiche, elle, quand elle jette de l’encre projette un liquide foncé - un peu comme l’encre avec laquelle je dessine - qui lui sert de camouflage lorsqu’elle se sent menacée. Et quand on dit d’un lutteur qu’il est ancré dans le sol, c’est qu’il est solidement planté sur ses jambes.