Là au moins, il faut faire quelque chose et non pas se laisser faire. Si je veux faire bouger le rouleau, il faut que je le pousse. Allez ! Encore un degré ou deux, ce serait mieux. Si je veux descendre les escaliers correctement, il faut qu’il plie, ce sacré genou. Alors, poussons, encore et encore, le progrès sera visible tout à l’heure quand Hélène va mesurer avec son goniomètre (Si vous ne savez pas pas à quoi ça ressemble: