Arrivée à Calenzana. 20 heures environ. Et en allant du parking à la maison de nos amis, un chien. La tête levée vers un porche. Gémissant, frétillant, pleurant d’amour pour une belle, elle-même perchée sur le portique et appelant son Roméo. Attendrissant. Et quelques heures plus tard, repassant au même endroit, les mêmes, s’appelant et s’attendant. Elle descendant pour aller l’embrasser sous le portail et remontant se pencher à son balcon. Ils ont du rester là toute la nuit. L’impossible rencontre...