la vie de memphis

Coca Cola: Qui peut résister à sa fraîcheur?

J’aimerais bien que Philippe, mon fils et Alexandre, mon petit fils soient capables de lui résister! Boire du coca avec tout, y compris la choucroute de leur mère, ça me révulse l’estomac! D’accord, c’est rafraîchissant comme le dit la pub, mais c’est aussi terriblement sucré. Enfin, tous les goûts sont dans la nature et ma tolérance va jusqu’à les fournir en coca quel que soit le plat que je leur sers!

Knackies max: quelquefois trop max!

Déjà, les knackies normales ne m’enthousiasment pas, alors des “max”, je ne vous dis pas! Mais je suis sûre que la vraie Memphis, celle en chair et en nonos que vous pouvez voir sur son album photo, là à gauche, juste en-dessous des archives, elle, elle apprécierait. Je pense même qu’elle en redemanderait. Alors, pour elle, une recette bien grasse que je faisais autrefois pour les enfants affamés: tu mets de l’eau à chauffer. A ébullition, tu éteins et tu plonges des knackies ( avec des francforts, c’est nettement meilleur) Au bout de 5 minutes, tu égouttes et tu fends les saucisses. Tu les fourres avec un bâtonnet d’emmenthal, tu les enveloppes dans une fine tranche de lard fumé et tu fais dorer à la poêle. Avec une bonne purée de pois cassés, tu tiendras jusqu’au soir sans problèmes!

Avec Boursin, vous êtes un chef!

Pas avare de compliments, Boursin! Mais il est vrai que mes invités, à l’apéritif, ne le sont pas non plus quand je leur sers une recette au Boursin. Classiques, d’accord, mais délicieuses et vite préparées: les roulades de jambon au Boursin ail et fines herbes, ou les feuilles d’endives garnies de boursin au saumon. Et les petits champignons de Paris remplis de Boursin au poivre. Une vraie mine d’idées le Boursin. Merci qui? monsieur François Boursin!

Chaussée aux moines: Pardon, mais c'est trop bon!

Mais oui, ma Memphis, faute avouée est à moitié pardonnée. Et tu as une telle manière d’avouer tes fautes: tu te transformes littéralement en chien battu. L’oreille basse, la queue entre les jambes, le museau au ras du sol, cherchant à disparaître... Impossible d’ignorer que tu as fait une bêtise et que tu le sais. C’est pratiquement toujours un vol alimentaire. Le reste n’est que broutilles et tu en es même arrivée à ne plus considérer que monter sur le canapé ou les lits est une faute. Les temps changent ou bien les maîtres deviennent plus laxistes au fur et à mesure des années qui passent!

Champion: difficile de battre un champion.

Je ne sais pas si l’enseigne “Champion” est la meilleure, la moins chère, etc. Tout ce que je sais, c’est que l’apparition des supermarchés, des supérettes et autres mini-markets a révolutionné la manière de faire les courses. Même si le marché du dimanche demeure incontournable pour moi avec ses produits frais et ses commerçants qui au fil des années deviennent pratiquement des amis, les “grosses courses”, regroupées en un seul lieu, c’est, ma foi bien pratique. Donc, bravo à Monoprix, Auchan, Carrefour et bien sûr, Champion, vous êtes tous des champions!

Wonderbra: regardez-moi dans les yeux, j'ai dit dans les yeux!

Y a-t-il besoin d’un commentaire, messieurs? Mais, méfiez-vous. Quand je vais avoir enlevé ma perruque, mes lentilles, mon dentier, mon collant ventre plat et fesses rebondies et pour tout arranger mon Wonderbra, où se portera votre regard? Il y a des surprises dans la vie. Et pas uniquement des agréables...

Collants Well: les jambes ont la parole.

Et c’est bien vrai que les jambes ont un langage. La manière (plus ou moins consciente quelque fois...) de les allonger, de les croiser ou de les décroiser ou simplement de les découvrir ou de les cacher quand elles ne sont pas jugées satisfaisantes peut constituer un vrai discours. Et de beaux bas ou collants, fins, opaques ou fantaisie, contribuent à la compréhension de ce “texte”. Merci, oh, mille fois merci à Well, Dim, Chesterfield et autres fabricants, de l’avoir compris et de nous permettre à nous les femmes, de donner ainsi la parole à cette partie si importante de notre anatomie: les jambes!

Omo: touti cline, touti zen

Un peu charabia peut-être, mais dans la bouche d’un singe, rien d’étonnant! En tout cas le message est très clair: Omo travaille pour nous. Plus de tâches ni de taches. Comme le disait une autre pub pour la même marque: “Omo est là et la saleté s’en va”! Et bien braves ménagères, à nous les chaises-longues et autres transats. Nous pouvons être “zen”: la lessive est impec!

Vizir: liquidez vos problèmes de taches.

Une lessive à base de savon de Marseille et qui depuis 1982 résout, parait-il les problèmes de taches. Innovation surtout, après les lessives en poudre qui se dissolvaient plus ou moins bien, enfin une lessive liquide. Et quelle femme n’a entendu parler de la fameuse “Vizirette”, la petite boule dans laquelle on mettait la dose nécessaire avant de la poser directement dans la cuve de la machine? Maintenant, il y a en plus les tablettes 2 ou même 3 en 1. Moi, ma préférence irait à la lessive style Disney: un coup de baguette magique et les affreuses taches de cette sauce tomate qui saute si facilement sur la chemise de Jasmin disparaîtraient comme par enchantement. Où y a-t-il une bonne fée?

Destop: le bon tuyau.

Là aussi, les publicitaires ont su faire dans la légéreté, je dirais presque dans “la fosse tranquille”! (Ça, c’est Eparcyl!). Pas d’odeurs nauséabondes ni de fermentations. Simplement “le” bon tuyau qu’on se passe de bouche à oreille. Le produit que l’on choisit tout comme le plombier préfère tel tuyau plutôt que tel autre: le bon.