Pour m’échauffer, je dois faire du vélo. Ici, pas question de musarder dans la campagne, ni d’admirer le paysage. En selle et pédalons. Enfin presque: il faut d’abord procéder aux réglages de hauteur et de résistance. Théo, le “coach”, me donne heureusement un petit coup de main. Ça y est, les pédales me conviennent. Je commence sans chercher la difficulté, au point que tout me semble presque trop facile. Mais pensons qu’il faut tenir la distance. Passée l’euphorie des premiers instants, les petits coups d’œil à gauche et à droite, je m’ennuie un peu. Comme je ne connais personne, je ne peux pas papoter comme mes deux voisines et prendre un livre comme la troisième ne favorisera certainement pas le contact... Enfin, patience et pédalons. Je vais demander à Zéphyr de m’enregistre un CD de musiques entraînantes. Ça m’aidera à prendre mon mal en patience...