Heureusement, nous autres, les femmes, nous avons le maquillage. Il m’en faut de plus en plus pour plaquer mon visage sur ce masque que je ne reconnais plus. Enfin, au finish, avec du fond de teint, du crayon à sourcil, quelquefois même des faux-cils (quelle angoisse, j’ai toujours peur qu’ils se décollent), la perruque, je suis sortable. Mais ni tout à fait moi, ni tout à fait une autre.