Mais surprise! La tête basse et mon sac à la main, poussé par un autre policier, voilà mon agresseur qui entre. “Alors, tu ne te souviens toujours pas du nom de ta mère, mon grand? Ce sac ne serait pas plutôt à la dame qui est là? On va voir si le nom correspond et aussi si il y a bien encore tout ce qu’elle nous a décrit”. Il n’a vraiment pas l’air fier ni à son aise mon voleur. Encore moins une fois les papiers et le contenu du sac vérifiés. Le premier policier me rend mon sac tandis que l’autre l’emmène à côté. Pour moi, tout est bien qui finit bien. Je m’en tire avec un genou couronné. Désormais, je serai plus méfiante et je ne prendrai plus que des sacs en bandoulière!