C’était bien ça. Je sais maintenant qu’il va falloir se battre, s’accrocher. Et dire à mes enfants ce qu’il en est, leur faire de la peine. Heureusement, mon mari est là, qui me soutient. J’ai vu la chirurgienne, l’anesthésiste. Ce matin, il faut y aller, après la traditionnelle douche à la bétadine. Ma voisine de chambre est adorable et nous allons bien rire toutes les deux. Elle a même essayé de m’expliquer “Les feux de l’amour” qu’elle regarde tous les jours...